Les nouveautés dans le Code de la route en 2023

Apprendre le Code de la route est un passage obligé pour tous les candidats aux permis. Ces derniers doivent passer l’examen théorique général pour pouvoir passer l’épreuve de conduite. Pour cela, il ne suffit pas de feuilleter le vieux manuel de cours de code d’une auto-école. Les moyens de transport évoluent, les voies de circulation se transforment, de nouvelles mobilités urbaines apparaissent… Aussi, le Code de la route évolue pour s’y adapter. Les conducteurs et futurs conducteurs doivent maîtriser les différents changements qui s’opèrent. Pour cette année, voici les nouveautés concernant le Code de la route et son apprentissage.

La possibilité de signer le contrat de formation en ligne

Pour les apprenants qui sont de plus en plus nombreux à choisir une formation 100% digitale, il est désormais possible de signer en ligne leur contrat de formation.

Depuis le 1er juin 2020, chaque auto-école doit remettre obligatoirement un contrat-type d’enseignement à la conduite à ses futurs apprenants. Ce contrat-type permet à ces derniers de connaître les différentes prestations auxquelles il a droit et de connaître le coût réel de sa formation. Auparavant, il fallait se déplacer au bureau de l’auto-école pour le signer. Actuellement, il est possible de le signer en ligne pour matérialiser votre inscription à la formation.

Grâce à cette réforme, vous profitez pleinement de tous les avantages de la formation en ligne.

  • Toutes les démarches relatives à votre inscription à la formation et à l’examen peuvent se faire sur Internet.
  • Des supports pédagogiques complets (cours, manuel, exercices, examens blancs) sont disponibles sur une plateforme d’e-learning accessible depuis un smartphone ou un PC : manuel dématérialisé, cours en vidéo, exercices d’entraînement, examens blancs…
  •     La plateforme vous permet de gérer à l’aide d’une application tous les aspects de votre formation : apprentissage, révisions, rendez-vous pour le cours de conduite, démarches administratives, etc.

Des questions qui demandent davantage de réflexion

À l’examen, le candidat doit toujours répondre aux 40 questions choisies dans une base de données de 1000 questions. Le nombre des thématiques abordées reste à 10 depuis la réforme qui a introduit le thème « environnement ».

Ce qui change, c’est que les questions posées à l’épreuve théorique (ETG) demandent désormais beaucoup plus de réflexion. L’apprentissage par cœur des règles ne suffit plus. Le candidat doit accorder davantage d’analyses aux situations présentées pour pouvoir donner la bonne réponse. L’objectif est de permettre aux futurs conducteurs de mieux s’adapter à toutes les situations en faisant preuve de réflexion.

La formation digitale est adaptée à cette nouvelle approche et propose des contenus pédagogiques de qualité pour parfaire votre formation :

  • Une formation innovante préparée par des enseignants qualifiés et des experts en e-learning ;
  • Des cours de code conçus pour vous permettre d’approfondir avec facilité les 10 thèmes sur lesquels vous êtes interrogés lors de l’ETG ;
  • Plus de 5 000 questions d’entraînement, soit 5 fois plus que celles de la base de données officielle, pour vous permettre de voir chaque question sous des scénarios différents.
  •     Des examens blancs à jour et conformes à l’examen du Code officiel pour vous exercer et pour évaluer vos connaissances dans les conditions réelles.

Apparition de nouvelles signalisations

De nouvelles signalisations routières viennent enrichir le Code de la route. Elles servent à traduire sur le terrain les nouvelles réglementations adoptées par le gouvernement. Leur objectif est de sécuriser davantage les usagers de la route.

Ces nouvelles signalisations feront sûrement partie des questions qui vous seront posées à l’ETG. Il est donc conseillé de les prendre en compte dans vos révisions. Grâce à leurs documents pédagogiques mis à jour, l’auto-école digitale vous aide dans ce sens.

Le feu mixte piéton-cycliste

C’est un feu tricolore sur lequel figurent des visuels vélos avec les visuels « bonhomme ». La signalisation indique aux cyclistes qu’ils doivent s’arrêter ou qu’ils peuvent traverser en même temps que les piétons. Elle est installée uniquement au niveau de traversée d’une voie où une piste cyclable se trouve parallèle à un passage piéton.

 

Les panneaux « obligations de porter des équipements d’hiver »

Dans 48 départements des massifs montagneux, les automobilistes sont obligés de se munir d’équipements de roues adaptés à la conduite hivernale (pneus hiver ou chaînes de neige/chaussettes de neige). D’où la présence des panneaux qui matérialisent les zones concernées.

Les panneaux ZFE

Toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants doivent instaurer une Zone à Faible Émission mobilité (ZFE-m) d’ici le 1er janvier 2025. L’objectif est de restreindre la circulation de certaines catégories de véhicules dans un périmètre défini. En conséquence, vous pouvez remarquer des panneaux indiquant les jours et les horaires de la restriction ainsi que les catégories de véhicules concernés.

Le panneau d’information dans le tunnel

Il s’agit de balises bleues permettant aux conducteurs de repérer les distances de sécurité qu’ils doivent respecter à l’intérieur des tunnels.

Le décompteur de temps pour les piétons

En 2023, les piétons commenceront à bénéficier d’un « décompteur de temps pour traverser ». Installé au passage piéton, ce dispositif indique le temps d’attente avant de pouvoir traverser la route et décompte le temps imparti pour traverser.

 

Voilà les informations importantes à retenir sur les nouveautés apportées au Code de la route pour l’année 2023.

 

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