Les scooters électriques sont silencieux et émettent très peu de dioxyde de carbone. Ils disposent d’un moteur électrique alimenté par une batterie remplaçable. Leurs prix sont beaucoup plus élevés que ceux des scooters thermiques, mais ils sont moins chers en termes d’entretien.
Les atouts d’un scooter électrique
Les deux-roues électriques présentent toujours de nombreux avantages. Par rapport aux scooters à moteur à combustion, la structure des scooters électriques est très simple et en cas de panne. Ils ont moins de pièces que les deux roues en combustion, et comme il n’y a pas de vibrations induites par la combustion, les pannes sont rares et il n’y a pas lieu de s’inquiéter notamment en termes de bougies d’allumage, de qualité de l’essence, de joints moteurs, etc.
L’entretien peut être comparé aux vélos électriques rapides que nous utilisons tous les jours. Elle porte sur plusieurs éléments de la partie cycle et de la partie électrique.
Quels sont les points à considérer
Dès lors que la voiture a fait 1 000 km, il faut envisager sa première visite de contrôle. Il s’agit d’une visite rapide, inspection générale semblable à la révision dite de « fin de rodage » à réaliser avec un scooter thermique. Peu couteuse elle permet notamment de vérifier le dispositif de freinage, les pneus, le système électrique, la direction, l’éclairage ou e encore les amortisseurs.
Le second entretien doit se faire après avoir dépassé le cap des 500 km ou un an suite à la mise en circulation du véhicule. En termes d’entretien supplémentaire, il faudra vérifier le niveau de liquide de frein, la transmission ainsi que le bon fonctionnement du système embarqué.
Il doit être réparé à une distance d’environ 4000 km, ce qui comprend la vérification du contrôle d’accélération du véhicule, de la position des roues et de sa disposition. Vous devez également effectuer un deuxième service d’environ 7 000 kilomètres.